Effet wavy

Photo Pexels

La permanente wavy est une alternative intéressante, surtout pour les femmes qui ont les cheveux fins sur lesquels les ondulations au fer ne tiennent pas longtemps.

Mon Blog !

Les feuilles tombent des arbres, et les cheveux semblent adopter le même rituel en octobre.
Couleur terne, volume inexistant, frisottis, cassures… leur triste mine semble regretter l’été.
Pas de panique, vous pouvez agir pour leur rendre le sourire!

Si l’ampleur du phénomène varie d’une personne à l’autre, nous perdons au début des saisons froides plus de cheveux que d’habitude, et notre tignasse perd en vitesse de pousse, et en masse.
Plusieurs facteurs influencent ce phénomène : les hormones, le changement de températures, les conséquences du soleil, de la mer et de la chaleur de l’été… Pour limiter cette chute ponctuelle, pensez à booster vos cheveux avec une cure de complément alimentaires capillaires : levure de bière.

 

Un peu d’histoire …

Entretenir, embellir sa chevelure a toujours été une préoccupation pour l’Homme.

Il y a mille et une manières de se coiffer. La coiffure est le reflet des us et coutumes des différentes civilisations.

A chaque époque, elle a été inspirée par des courants artistiques, marquée par les codes sociaux et les modes, justifiée par des considérations pratiques et hygiéniques ou encore influencée par des cultures étrangères.
Depuis la préhistoire et jusqu’à nos jours, la coiffure a aussi souvent porté une dimension symbolique.

Chez les Hébreux, la légende raconte que Samson tient sa force extraordinaire de sa longue chevelure. Au IXe siècles, la mythique barbe fleurie de Charlemagne, symbole de sagesse et de puissance, a contribué à son rayonnement.

La coiffure n’échappe pas aux phénomènes de mode, par définition temporaires. La mode, esthétique et créative, est propre à chaque époque. Elle peut-être influencée par les tendances passées, par les moyens moyens techniques disponibles.

Une petite histoire du métier

Les métiers de la coiffure existent depuis la plus haute antiquité. Certainement à cause de la nécessite de se raser pour les hommes, ce sont surtout les barbiers qui ont les premiers ouvert des boutiques à l’époque romaine.

Au Moyen Âge, les barbiers sont polyvalents, ils taillent les barbes, coupent les cheveux, arrachent les dents, pansent les blessures, font des saignées ou soignent les pieds. Les premiers coiffeurs-perruquiers n’officient alors qu’auprès des familles royales.

Ce n’est qu’à partir du XVIIe siècle et la grande mode des perruques que la profession se structure en corporation, et les premiers coiffeurs-perruquiers installent pignon sur rue à Paris.

A partir de cette époque, la coiffure prend de l’essor.

La Révolution, malgré la puissance des Maîtres perruquiers de l’époque, a supprimé les privilèges et a permis une plus grande liberté d’installation dans le métier. Cependant, la disparition des perruques masculines rendit plus difficile la vie des artisans coiffeur auxquels on interdisait désormais toutes pratiques médicales.

Le XXe siècle est marqué par la naissance des sociétés mutualistes puis des organisations patronales syndicalistes de la coiffure qui défendront la profession.

Au siècle dernier, les syndicats patronaux et ouvriers se développent et depuis les salons de coiffure se multiplient partout en France.

L’enseignement professionnel a toujours été une priorité pour la profession, principalement grâce à l’apprentissage. Les premières écoles ouvrent leur porte dès le début du XIXe siècle. Le certificat d’aptitude professionnelle (CAP) est créé en 1931, le brevet professionnel (BP) en 1935.